Trafic de passeports diplomatiques : Me Antoine Ngom clame l’innocence de ses clients
Les députés Mamadou Sall et Mamadou Biaye ainsi que l’un des prévenus, feront face au juge le 17 mars prochain. Une affaire relative au trafic de passeports diplomatiques.
« Des gens sont toujours dans les liens de la détention sans pour autant que l'on sache s’ils son coupable ou pas. Il fait savoir aussi que c’est un dossier vide, car je l’ai toujours dit. C’est juste qu’ils sont du pouvoir que les gens ont tendance à rendre ce dossier aussi complexe. On pouvait le juger au tribunal des flagrants délits, mais c’est parce que ce sont des députés que le dossier est en instruction », déclare Me Antoine Ngom.
Poursuivant dans ses explications, il note que le juge d'instruction a fait son travail dans les meilleures conditions, avant de l’envoyer à qui de droit pour le jugement. L'avocat rappelle qu'à deux reprises, il a demandé une liberté provisoire pour le député El Hadj Mamadou Sall pour motif de maladie.
Mais le juge s’y es opposé. Pour rappel, ils sont poursuivis pour trafic de visa, de faux et usage de faux et de trafic de migrants. Les trois prévenus avaient déjà fait face au juge d’instruction du 2e cabinet, pour être entendus dans le fond du dossier.
Rewmi
« Des gens sont toujours dans les liens de la détention sans pour autant que l'on sache s’ils son coupable ou pas. Il fait savoir aussi que c’est un dossier vide, car je l’ai toujours dit. C’est juste qu’ils sont du pouvoir que les gens ont tendance à rendre ce dossier aussi complexe. On pouvait le juger au tribunal des flagrants délits, mais c’est parce que ce sont des députés que le dossier est en instruction », déclare Me Antoine Ngom.
Poursuivant dans ses explications, il note que le juge d'instruction a fait son travail dans les meilleures conditions, avant de l’envoyer à qui de droit pour le jugement. L'avocat rappelle qu'à deux reprises, il a demandé une liberté provisoire pour le député El Hadj Mamadou Sall pour motif de maladie.
Mais le juge s’y es opposé. Pour rappel, ils sont poursuivis pour trafic de visa, de faux et usage de faux et de trafic de migrants. Les trois prévenus avaient déjà fait face au juge d’instruction du 2e cabinet, pour être entendus dans le fond du dossier.
Rewmi