Chevaux mutilés. Dans le Morbihan, les propriétaires sont à cran
« Ça n’est pas nos enfants, mais ils viennent juste après ! » marmonne un propriétaire de chevaux. « Si je trouve quelqu’un en train de lacérer mon cheval, je ne réponds plus de rien ! Nous sommes des passionnés, nous dormons depuis quinze jours dans nos voitures, nous sommes fatigués. » Ce...