Utilité de la non-violence
Partout la hausse des agressions ordinaires : violence dans la rue, les services hospitaliers, les administrations, les écoles et leurs alentours, les manifestations, les réseaux sociaux, etc. Et de plus en plus de discours politiques qui la légitiment, considérant qu’elle seule sait se faire entendre. Il semble loin le temps où la désobéissance civile posait comme premier principe non négociable la non-violence, non pas comme absence d’action, mais précisément comme action qui refuse la violence et privilégie tout autre mode d’agir.