Guingamp. Charlène, la miss bretonne du tatouage
Les gens d’ici« Faire de mon corps une oeuvre d’art » : c’est l’objectif ambitieux qu’affiche Charlène Henry. Pour y parvenir, elle le recouvre petit à petit de dizaines de tatouages, depuis ses 18 ans : « J’ai arrêté de compter à partir de 50… ». Une passion pour laquelle elle a été élue « Ink...