à Michel Étiévent, qui sortit Ambroise Croizat des catacombes de l’histoire
Un lien d’amitié de longue date nous unissait avec Michel Étiévent. Tout a commencé par un projet qui lui ressemble : un film court qui parlait de l’histoire des aciéries et des ouvriers de sa vallée. Il les racontait souvent dans ses articles ainsi que d’autres problématiques des travailleurs, comme celle des saisonniers. À son contact, ce projet local a grandi et est devenu « De mémoires d’ouvriers ». Ce film transmettait la mémoire ouvrière des montagnes de Savoie et, à travers elle, l’histoire sociale en général.