Ce mardi, l’Olympique de Marseille va disputer un match capital face au Panathinaïkos au stade Vélodrome. Une qualification enverrait les hommes de Marcelino en barrages. La victoire ou l’élimination. Battu lors du match aller en Grèce au terme d’un match très poussif, l’OM n’a pas d’autres choix que de s’imposer pour, a minima, pousser le Panathinaïkos en prolongations. Pour renverser la vapeur et rattraper ce but de retard, les coéquipiers de Pierre-Emerick Aubameyang pourront compter sur le soutien du stade Vélodrome, une nouvelle fois à guichets fermés. Un public qui peut parfois se retourner contre ses propres joueurs, tient à rappeler l’ancien entraîneur olympien Gérard Gili. Le technicien français se remémore notamment le début de saison dernière et l’arrivée d’Igor Tudor : “Pas plus tard que l’an dernier, on a vu un stade un brin frondeur avant même la première journée. Au-delà de l’enjeu entourant ce 3e tour préliminaire, si les Marseillais avaient dû jouer dans un contexte similaire, ça aurait pu faire déjouer certains. D’autant plus que plusieurs joueurs, arrivés cet été, découvrent à peine cet environnement.” “Certains sont sortis renforcés de la victoire contre Reims” Si le natif de Marseille reconnaît que le succès face au Stade de Reims ce week-end est primordial, il estime tout de même que les Olympiens sont en retard sur la préparation par rapport à leurs adversaires : “La victoire remplace tous les mots. Elle te porte et te donne confiance. Et certains garçons sont sortis renforcés de ce match contre Reims. Pour autant, les joueurs ne sont
