La «surveillance active» de la DGSI n’a pas empêché le passage à l’acte du tueur d’Arras
Le terroriste du lycée d’Arras était connu et surveillé par la DGSI, comme les tueurs de «Charlie Hebdo», de Villejuif ou de Magnanville. «On se doutait de quelque chose», admet le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin. Ça n’a pas suffi. Tentative d’explication.