V&B déménage, du cochon bio aux halles... L’actu des commerces à Limoges

V&B

20 avenue de Blogie (Zone nord). V&B, qui est tout simplement l'acronyme de "vins et bières", change d’adresse. Le magasin, passe du 20 de la rue Frédéric Bastiat au 20 avenue de Brooglie. « On passe de 350 m² à 650 m² », explique le maître des lieux Anthony Farard.

Ce Mayennais a ouvert son premier établissement à Vitré (Île-et-Vilaine), en 2021, puis il poursuit en 2016 son aventure entrepreneuriale à Limoges où il reprend les rênes de la cave-bar, puis en 2021 où il inaugure avec Benjamin Boquet, le V and B de Saint-Junien. Dédiés aux vins, spiritueux, ces espaces mettent aussi l’accent sur la convivialité.

L’idée de ce déménagement est de gagner en espace tout en apportant une visibilité accrue sur les produits exposés. Rien que pour le whisky, près de 400 flacons sont référencés. Idem pour ce qui concerne le rhum, les bières et les vins.

La salle de bar ayant doublé de volume, les clients peuvent savourer, avec modération, leurs boissons et se sustenter en dégustant les charcuteries, camemberts rôtis, planches mixtes… « Dans cet espace, je tiens à conserver la dimension cocoon », explique Anthony Farard.

Ce nouveau lieu vivra aussi au rythme des événements et des animations qui y seront organisées. Ouvert le lundi de 14 heures à 20 h 30, le mardi, mercredi, samedi de 10 heures à 20 h 30, le jeudi et le vendredi de 10 heures à 22 heures. 

16 rue Haute-Vienne. Breme est une excellente pâtisserie située au 16 rue Haute-Vienne. Mais c’est aussi un restaurant. Ce nouvel établissement situé au 15, juste en face de la pâtisserie propose des plats simples, faciles, efficaces, mais bien cuisinés.

La carte varie selon les saisons. Les salades estivales peuvent se montrer hivernales, les soupes remplacent les crudités, la saucisse purée peut s’installer aux côtés des œufs mimosas. Pour les desserts, il est possible de traverser la rue.

Zakary, qui a fait ses classes, entre autres, chez Cyril Lignac, propose ses desserts raffinés, recherchés et introuvables ailleurs. Benoît, Angélique et Théo, complètent ce quatuor toujours en quête d’excellence.

Tout est fabriqué sur place dans le laboratoire. Le restaurant est ouvert la semaine et même le dimanche avec le brunch de 11 heures à 15 heures.

Halles centrales, place de la Motte. Éleveurs de cochons culs noirs et gascons, Pascale et Philippe Vuylsteke viennent d’ouvrir, aux halles centrales, un étal mettant à l’honneur les produits de la Ferme des chevaliers noirs.

Installés à Jabreilles-les-Bordes, ils élèvent 120 porcs. Les culs noirs sont, sur le plan gustatif, plus subtils et plus fins que les Gascons, plus rustiques.

Agriculteurs bio, ils élèvent, engraissent, font abattre et produisent. Pascale était, dans une vie antérieure, agent immobilier. Philippe était militaire. « Une nuit d’insomnie j’ai regardé un documentaire sur l’élevage du porc. J’ai suggéré l’idée à mon mari et elle a fait son chemin. Nous avons donc quitté Montauban (Tarn-et-Garonne), où nous vivions, pour nous installer en Limousin », résume l'éleveuse dont les créations ont été primées au Salon de l’Agriculture.

3 rue Jean-Jaurès. Willy Schumann est originaire de Nice. Arrivé en Limousin il y a quatre ans, il a ouvert à Saint-Léonard-de-Noblat, une boutique axée sur la réparation des PC et mobiles. Il y a quelques mois, il a transféré son activité à Limoges, au 3 rue Jean-Jaurès, plus précisément. Toujours spécialisé dans la réparation des ordinateurs et des téléphones mobiles.

« Je travaille dans des délais assez rapides, les prix de mes interventions sont modérés », explique-t-il. Son atelier est ouvert du mardi au samedi de 10 heures à 18 heures, sans interruption.

31 rue Amédée-Gordini. Déjà présente sur la zone commerciale du Bas-Faure, au Vigen, Socoo’c ouvre un deuxième magasin au Family Village, au 31 de la rue Amédée-Gordini. Cette enseigne, qui a vu le jour en 2007, s’est donnée pour mission de rendre l’achat d’une cuisine, accessible à un plus grand nombre. Un modèle économique qui a fait ses preuves.

Les cuisines, fabriquées en France, à des prix accessibles, séduisent la clientèle. Après treize années passées à la tête du premier magasin, Xavier, qui connait bien la marque et le département, met tout en œuvre pour élargir la zone de chalandise de Socoo’c.

Jean-François Julien

Photos et vidéo : Stéphane Lefèvre