Bras de fer entre le personnel et la direction générale de la CBAO
«Face au dilatoire de la direction générale, cinq points n’ont pas pu être étudiés, négociés et réalisés. Parmi ces points on peut noter le parcours téléphonique, les heures supplémentaires, les modalités de paiements de nos primes qui varient chaque année, dont il n’y a aucune transparence. Il y a la gestion des carrières où nous sommes totalement en déphasage avec eux, ce qu’ils proposent et ce que subissent les agents par rapport à leur évolution professionnelle», a déclaré Malang Diémé, membre du collège des délégués du personnel de la CBAO Sénégal, non moins porte-parole du jour.
En effet, après de vaines négociations entamées à l’interne, ces délégués du personnel de la CBAO ont dans la foulée saisi non seulement la direction générale du travail, mais aussi le Conseil national du Dialogue Social, où également ils n’ont pas obtenu gain de cause.
«Tout ça est un processus parce que si on n’arrive pas à l’interne à avoir une direction générale attentive, qui écoute, qui se préoccupe du sort de ses agents, qu’on puisse aller vers l’arbitre. Et tout le monde connait l’arbitre, c’est la direction générale du travail. Malgré notre sollicitation de la direction du travail, ils n’ont pas pu trouver de solutions avec nous. Le conseil national du dialogue social a ensuite pris le relais et malgré ça nous sommes toujours au statut-quo», a expliqué le porte-parole du jour du collège des délégués du personnel de la CBAO, qui prévient à qui veut l’entendre «il faut que ceux qui sont en face reconsidèrent leurs positions.
S’ils ne reconsidèrent pas leurs positions, c’est sûr qu’on va vers le clash. D’ailleurs, on a un préavis qui va courir à partir de ce vendredi (aujourd’hui, Ndlr). Et l’autre action que nous comptons mener, c’est la marche !». Sur ce, confie-t-il, «nous sommes en négociation avec le préfet. Donc, on attend incessamment son autorisation. En plus, il y a d’autres actions qui pourraient se dérouler au moment des heures de pause, au moment des ouvertures d’audiences, au moment opportun et d’autres armes dissuasives qu’on préfère taire», a conclu M. Diémé.
SudQuotidien
En effet, après de vaines négociations entamées à l’interne, ces délégués du personnel de la CBAO ont dans la foulée saisi non seulement la direction générale du travail, mais aussi le Conseil national du Dialogue Social, où également ils n’ont pas obtenu gain de cause.
«Tout ça est un processus parce que si on n’arrive pas à l’interne à avoir une direction générale attentive, qui écoute, qui se préoccupe du sort de ses agents, qu’on puisse aller vers l’arbitre. Et tout le monde connait l’arbitre, c’est la direction générale du travail. Malgré notre sollicitation de la direction du travail, ils n’ont pas pu trouver de solutions avec nous. Le conseil national du dialogue social a ensuite pris le relais et malgré ça nous sommes toujours au statut-quo», a expliqué le porte-parole du jour du collège des délégués du personnel de la CBAO, qui prévient à qui veut l’entendre «il faut que ceux qui sont en face reconsidèrent leurs positions.
S’ils ne reconsidèrent pas leurs positions, c’est sûr qu’on va vers le clash. D’ailleurs, on a un préavis qui va courir à partir de ce vendredi (aujourd’hui, Ndlr). Et l’autre action que nous comptons mener, c’est la marche !». Sur ce, confie-t-il, «nous sommes en négociation avec le préfet. Donc, on attend incessamment son autorisation. En plus, il y a d’autres actions qui pourraient se dérouler au moment des heures de pause, au moment des ouvertures d’audiences, au moment opportun et d’autres armes dissuasives qu’on préfère taire», a conclu M. Diémé.
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