Radiations dans les rangs des ASP à Kolda, 11 agents licenciés
De quatorze au départ, le nombre d’agents d’assistance à la sécurité de proximité (ASP) radiés est passé à 92. La région de Kolda paye un lourd tribut, avec 11 ASP licenciés sur les 92 agents concernés par cette mesure à travers le pays.
A l’origine de cette radiation, les faits de grève. Pis encore, malgré la détermination des ASP, leur Direction générale a été insensible à la médiation menée par des autorités religieuses.
Les 92 ASP radiés ont été sommés de rendre leur tenue. Parmi ces agents sanctionnés par la tutelle, suite à leur mouvement de février dernier, cinq sont du département de Kolda, dont un secrétaire du commissaire urbain, en l’occurrence David Santos Mané. Les six autres agents étaient régulièrement affectés dans le département de Médina Yoro Foula. Aucun agent n’a été radié à Vélingara.
Malgré ces licenciements, le combat va se poursuivre avec le déroulement d’un nouveau plan d’actions qui prévoit une grève de 72 heures dans le pays, à partir de ce mercredi 13 avril 2022. C’est pour exiger la réintégration de ces 92 agents, dont les contrats de travail ont été rompus par la Direction générale, renseigne "Enquête".
A l’origine de cette radiation, les faits de grève. Pis encore, malgré la détermination des ASP, leur Direction générale a été insensible à la médiation menée par des autorités religieuses.
Les 92 ASP radiés ont été sommés de rendre leur tenue. Parmi ces agents sanctionnés par la tutelle, suite à leur mouvement de février dernier, cinq sont du département de Kolda, dont un secrétaire du commissaire urbain, en l’occurrence David Santos Mané. Les six autres agents étaient régulièrement affectés dans le département de Médina Yoro Foula. Aucun agent n’a été radié à Vélingara.
Malgré ces licenciements, le combat va se poursuivre avec le déroulement d’un nouveau plan d’actions qui prévoit une grève de 72 heures dans le pays, à partir de ce mercredi 13 avril 2022. C’est pour exiger la réintégration de ces 92 agents, dont les contrats de travail ont été rompus par la Direction générale, renseigne "Enquête".