Vodafone broie du noir mais suscite de nombreuses convoitises
Le géant britannique des télécoms, dont le cours de Bourse n’a cessé de dégringoler ces dernières années, suscite l’appétit des cadors du secteur. Après l’émirati e&, qui a augmenté sa participation de 11 à 13% au capital de l’opérateur, l’arrivée de Xavier Niel qui en a pris 2,5%, l’américain Liberty Global vient, lui, de s’en offrir 5%.