Tour de France: Philipsen, le géant vert
Cette fois, le nouvel empereur du sprint n'aura même pas eu besoin de son poisson-pilote de luxe Mathieu van der Poel, malade et distancé dans le final, pour lever les bras à Moulins sur des routes détrempées par l'orage. Calé dans le sillage du Néerlandais Dylan Groenewegen, un concurrent, le Belge a réglé le sprint massif avec une marge énorme sur le reste de la meute à l'issue d'une journée pour une fois paisible pour les favoris. "Oui je peux aussi gagner sans Mathieu. Il facilite les choses pour moi. Читать дальше...