Leurs cosmétiques au lait de jument ont la cote
En avril et mai, les nuits des patrons du haras de la vallée des Haflinger, à Degré (Sarthe), sont fractionnées. Toutes les deux heures, ils se réveillent pour vérifier que l’une de leurs juments n’a pas mis bas. On attend encore six naissances. Sur leurs frêles pattes, dix poulains courent déjà...